La médecine douce, une pratique de plus en plus populaire chez les Français

médecine douce

Ostéopathe, acuponcteur, étiopathe, phytothérapeute ou encore chiropracteur, tous se réunissent dans un même ensemble, la médecine douce. Aussi appelée médecine alternative, ce sont des pratiques s’appuyant sur diverses techniques de soin ou de manipulation non remboursées par la Sécurité Sociale. Malgré tout, nombreux sont ceux qui vantent son efficacité, avec dans certains cas la prescription de médicaments à base de plantes uniquement. Des arguments qui font mouche dans la tête des Français, et surtout des Françaises qui représentent à elles seules 72% des séances réalisées en France.

Que soigner avec la médecine alternative ?

La médecine alternative permet de soigner de nombreux troubles différents, avec une possibilité d’actions relativement large. Ces thérapies naturelles se positionnent, soit en complément de la médecine traditionnelle, soit en solution alternative.

On retrouve parmi les principaux traitements, les migraines, l’anxiété, les problèmes de dos, les allergies, les insomnies et bien plus encore. Le recours aux médecines douces a pour effet dans certains cas d’atténuer les symptômes de certaines maladies graves.

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Les métiers de la médecine douce

De plus en plus reconnue par la médecine traditionnelle, en complément des traitements conventionnels, nombre de personnes ayant essayé la médecine douce l’ont adoptée. Cependant, personne ne peut se proclamer du jour au lendemain ostéopathe, acupuncteur ou encore hypnothérapeute. Ce sont souvent des années d’apprentissage qui sont nécessaires pour obtenir un diplôme et pouvoir exercer efficacement.

On retrouve parmi les pratiquants les plus populaires, l’ostéopathe, professionnel qui a pour objectif de prévenir ou de guérir certains troubles du corps d’ordre physique, au niveau des muscles et de la tête par des manipulations à la main.

Vient ensuite l’hypnothérapeute qui va pratiquer l’hypnose. Cette pratique peut se révéler déstabilisante pour le patient lors des premières séances, mais les résultats peuvent être assez remarquables. En effet, l’hypnothérapeute va directement agir sur la partie inconsciente du patient. C’est là qu’il va pouvoir corriger certains troubles psychiques, l’anxiété, mais également des habitudes qui nuisent à notre quotidien ou à notre santé comme les insomnies ou le tabac.

Malheureusement, ces méthodes ne sont pas remboursées par la sécurité sociale, et certaines pratiques peuvent donc se révéler assez coûteuses pour le patient. Heureusement, certains organismes ont pris conscience des enjeux de cette pratique, comme MCCI qui peut rembourser selon les garanties de votre contrat plusieurs séances par an sur présentation d’une facture acquittée à condition que le praticien retenu soit un professionnel disposant d’un numéro ADELI (professionnel de santé), FINESS (médecin) ou RPPS (répertoire partagé des professionnels de santé).

Pour connaître votre niveau de prise en charge, consultez votre tableau de garantie ou renseignez-vous auprès de votre conseiller MCCI.